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Cake day: March 7th, 2025

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  • Comme @diegantobass@lemmy.world en a parlé la semaine dernière, j’ai lu Mon vrai nom est Élisabeth d’Adèle Yon.

    C’est un récit-enquête donc il ne faut pas s’attendre à un truc palpitant, mais j’ai bien aimé, même si ça tournait un peu en rond. Je ne le reproche pas à l’autrice, j’ai eu l’impression que les recherches aussi tournaient en rond à certains moments. Je l’ai trouvée honnête dans sa démarche et la façon de la retranscrire.

    J’ai appris des choses sur l’histoire de la lobotomie, mais je ressors de cette lecture avec un peu de frustration quand même. Au fur et à mesure du livre, Adèle Yon interroge beaucoup de choses, dont la nature de la mentale, mais ne creuse pas beaucoup sur comment on a construit ça, et idem côté schizophrénie, diagnostic, enfermement des indésirables. C’est quoi être schizophrène mi-XXè et c’est quoi aujourd’hui. Bref, ça me frustre et en même temps ce n’est pas fondamentalement l’objet du livre. Ceci dit, sur le sujet, il y a un bouquin d’Hervé Guillemain dont je garde un bon souvenir, Schizophrènes au XXème siècle.







  • truite@jlai.lutoMusique@jlai.luKokia - I catch a cold !
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    7 days ago

    Pour une raison que j’ignore je n’ai pas reçu de notif, mais je viens de voir quand même! Et après avoir un peu galéré à chercher une traduction des paroles*, est-ce que c’est parce que j’ai mangé trop de gâteau?

    *google translate a proposé “I’m a jerk I’m a jerk I’m a jerk” et j’ai trouvé ça très drôle







  • J’ai fini Mauvaise graine d’Octavia Buttler, que j’ai beaucoup aimé et dont je compte bien lire la suite. C’est le premier livre d’elle que je lis, il était temps!

    Sinon, je suis dans Retrouver la douceur de Cécile Coulon, une poétesse que j’aime beaucoup. Le seul point noir est la texture des couvertures du castor astral, mais j’ai fait un couvre-livre en tissu pour ces situations-là. En poésie ou pas loin toujours, je lis aussi Mais cette vie-là demande. toujours. plus. de. lumière. de Sabrina Calvo parce que j’ai envie de mieux découvrir cette autrice.

    Et j’avance très doucement dans La liberté ne se mendie pas, de l’Envolée, avec principalement des textes d’Olivier Cueto puisque c’est un hommage. Comme c’est plein de textes courts, c’est pratique à lire par-ci par-là, j’apprends toujours des trucs à la foi sur les luttes anticarcérales et sur les lois de mon pays.