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Grâce à eux, je viens de découvrir un nouveau métier (?) : Growth Hacker. Je crois que c’est le nom de boulot le plus ridicule que j’ai entendu de toute ma vie.
Pourquoi nous infliger ça, troglodyte_mignon, pourquoi ??
[…] il arrive parfois que le pirate, comme son nom l’indique, agisse à la limite de la légalité, par exemple en allant « aspirer » des fichiers d’adresses mail auxquelles il n’aurait normalement pas accès. Ce que Frédéric Canevet, auteur avec Grégoire Gambatto du livre Le Growth Hacking. Huit semaines pour doubler le nombre de vos prospects, paru en septembre chez Dunod, appelle le « black » hacking, en opposition au « white » hacking, qui fait appel uniquement à des techniques autorisées, et au « grey », qui est plus ambigu…
France Travail m’a envoyé une pub pour une école un peu louche :
Grâce à eux, je viens de découvrir un nouveau métier (?) : Growth Hacker. Je crois que c’est le nom de boulot le plus ridicule que j’ai entendu de toute ma vie.
Et encore, tu n’as pas encore rencontré les growth évangélistes.
Pourquoi nous infliger ça, troglodyte_mignon, pourquoi ??
Béatrice Madeline, « Growth hacker », l’activateur de croissance, Le Monde, 7 janvier 2018.